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Review
Reviewed Work(s): Rêves en colère avec les Aborigènes australiens. Alliances aborigènes
dans le Nord-Ouest australien by Barbara Glowczewski
Review by: Pascale Bonnemère
Source: Anthropos, Bd. 101, H. 1. (2006), pp. 274-275
Published by: Anthropos Institut
Stable URL: http://www.jstor.org/stable/40466655
Accessed: 25-11-2017 14:21 UTC
 
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 274 Rezensionen
 One of the most dangerous stages in the making of
 patterned cloth involves the preparation of the yarns for
 dyeing. Earlier writers have identified this as the process
 of mordanting (a process of treating the yarns with a
 metallic salt to enable the coloring agent to bind with the
 yarn). Gavin's work shows, however, that the ceremony
 known as ngar which only the most highly experienced
 weavers would undertake does not involve mordanting,
 but only the pretreatment of the yarns with an oil and
 an alkali.
 Gavin's position as a foreign woman working within
 Iban society allowed her to participate in the ritual and
 domestic activities of both genders. Her observations of
 the pros and cons of the role of each gave her a more
 complex understanding than that of a more restricted ob-
 server. One also supposes that the more informal casual
 discourse that women enjoy upon repeated acquaintance
 may have revealed varying levels of interpretation that
 informed her final conclusions. One of these challenges
 several concepts put forward by earlier scholars. She
 disputes the idea that childbearing and the cultivation
 of rice are the equivalents to men's headhunting. She
 shows that both headhunting and weaving, "resulted
 in benefits for the community. Trophy heads brought
 fertility and prosperity, while cloth affords protection in
 times of crisis and provides a means of communication
 with gods and spirits" (271 f.). Also Gavin's more than
 three years of work among the Iban conducted over a
 period of ten years gave her an insight about the control
 women exert over all major ceremonial occasions.
 Although primarily addressing the role of locally
 woven textiles this work includes much tangential infor-
 mation about Iban society and will be valued by scholars
 from many disciplines. Mattiebelle Gittinger
 Glowczewski, Barbara : Rêves en colère avec les
 Aborigènes australiens. Alliances aborigènes dans le
 Nord-Ouest australien. Paris : Pion, 2004. 436 pp. ISBN
 2-259-19931-3. Prix: €28,00
 Après "Les Rêveurs du désert" (1989) et "Du rêve
 à la loi chez les Aborigènes" (1991), voici "Rêves en
 colère : avec les Aborigènes australiens ", le troisième
 livre de Barbara Glowczewski consacré à ces popula-
 tions d'Australie qu'elle côtoie depuis près de 30 ans.
 Paru dans la collection " Terre Humaine " qui a fêté ses
 50 ans d'existence en 2005, le présent ouvrage a en
 commun avec le premier un style d'écriture accessible à
 tous, témoignant du désir de l'auteur de parler d'une
 philosophie et d'êtres humains qui ont profondément
 marqué sa vie. Bien qu'érudits, les deux livres trouvent
 donc facilement leur place sur une table de chevet.
 Avec "Du rêve à la loi", il partage une volonté
 d'appréhender la cosmologie aborigène au-delà des par-
 ticularités locales. Tous deux sont comparatifs en ce
 qu'ils conjoignent des informations provenant de divers
 groupes aborigènes (83 pour " Du rêve à la loi " et 28
 pour "Rêves en colère"), mais la démarche est toute
 différente. Issu d'un doctorat d'État, le premier était
 réservé aux spécialistes et, malgré l'originalité de l'ana-
 lyse, il suivait les canons usuels de l'œuvre académique ;
 l'ouvrage paru en 2004 nous fait lui aussi accéder aux
 principes de la cosmologie aborigène, mais presque à
 notre insu, en nous faisant progresser sinueusement pour
 mieux nous emmener loin de nos systèmes de pensée
 linéaires et parfois clos sur eux-mêmes. En cela, il
 peut sans doute être rapproché du résultat de l'élégante
 recherche formelle qu'a effectuée l'auteur au cours de
 l'élaboration du cédérom " Dreamtrackers " (2000) dont
 plusieurs protagonistes sont mentionnés ici.
 "Rêves en colère" aborde quatre régions bien dis-
 tinctes de l'Australie, à la fois géographiquement et
 historiquement. Chacune de ces régions est mise en
 scène au sein d'un ensemble invariablement composé de
 cinq chapitres, que B. Glowczewski appelle un " Livre ".
 À première vue, on pourrait penser qu'elle n'a choisi
 ces régions que pour les avoir parcourues, habitées et
 aimées ; en fait, elles l'ont probablement été aussi parce
 qu'elles permettaient d'aborder un très grand nombre
 d'aspects de la préhistoire, de l'histoire et de la culture
 du pays et de ses premiers habitants.
 Les vingt chapitres de l'ouvrage sont ainsi autant de
 " leçons " dépassant les frontières de ces régions (leçon
 de cosmologie, de parenté, de syncrétisme, d'écologie,
 de connexionnisme, etc.). En construisant son récit de
 la sorte, que veut nous faire ressentir intuitivement l'au-
 teur, avant de nous en donner des clefs plus explicites ?
 Sans doute que la pensée aborigène est à la fois une :
 tous les groupes présentent pour invariant le cadre cultu-
 rel spatio-temporel du " Dreaming ", ce concept-clé de la
 pensée aborigène qui désigne " un espace-temps éternel
 et en devenir auquel on accède par des sortes de portails
 virtuels que sont les sites sacrés, les rites et surtout la
 pratique onirique " (43) ; et en même temps multiple,
 dans la mesure où cet invariant se décline sous diverses
 formes selon les régions. Mais peut-être cherche-t-elle
 aussi à nous montrer que cette pensée - et les pratiques
 qui lui sont associées - est de nature réticulaire ? Dans
 cette cosmologie particulière, les significations naissent
 des itinéraires et des arrêts, qui lient entre eux des
 éléments du paysage et des groupes différents. On saisit
 également, ici encore à la fois implicitement et expli-
 citement, comment se constituent de nouveaux chants
 et de nouvelles scènes rituelles : dans un mouvement
 spontané, le rêve de chacun (ici plutôt de chacune)
 est proposé à l'écoute des autres et les membres de
 la communauté l'acceptent ou le rejettent selon que
 l'innovation que le rêve porte en lui est jugée conforme
 ou non à l'esprit de la Loi, autrement dit " cet ensemble
 de savoirs et de règles concernant la reproduction de la
 nature, de la culture et du cosmos " (31).
 Barbara Glowczewski explique sa démarche origi-
 nale dans un long préambule, mais le cheminement
 même du livre rendrait ces explications presque in-
 utiles. Les cinq leçons de chaque "Livre" installent
 un équilibre là où l'expérience vécue par l'auteur dans
 chaque région qu'elle a choisi de présenter est unique.
 Les quatre " Livres " ont tous leur teneur propre ; celui
 sur les Warlpiri (Livre III), est le plus riche sur le
 plan ethnologique, et l'on perçoit bien que les analyses
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 proposées sont le fruit de presque de 30 ans d'intimité
 avec eux. Le lecteur comprend certaines des règles qui
 gouvernent la parenté ; il circule dans les itinéraires
 des Rêves qui sous-tendent l'organisation des rituels ;
 et il saisit le rapport que les Aborigènes entretiennent
 avec leurs morts, au travers desconduites qu'ils doivent
 adopter vis-à-vis de leur image et de leur nom.
 Le Livre I est le plus personnel : on y voit la famille
 du conjoint de l'auteur, artiste et cinéaste aborigène ; on
 sent fortement le lien qui unit l'ethnologue à Theresa
 Barker, la belle-mère de l'auteur, un lien pourtant
 différent de celui qu'elle a tissé avec son amie warlpiri
 de toujours, disparue il y a deux ans, à laquelle elle
 avait dédié son premier livre et dont le portrait de
 profil orne la couverture du dernier. Il est aussi l'un
 de ceux, avec celui consacré à la Terre d'Arnhem
 (Livre IV), où les influences extérieures sur la vie
 locale (celles des pêcheurs de perles de Broome, des
 marchands indonésiens, ou des maisons de jeux) sont le
 plus perceptibles.
 Le Livre II fait surgir un personnage important de
 la vie aborigène, déjà mis en scène par Wayne Barker
 dans l'un de ses films. Cette fois, son épouse ethnologue
 nous emmène sur les pas de ce passeur infatigable dans
 le monde encore vif des peintures rupestres du Plateau
 des Kimberley. À l'écoute des leçons de cet homme
 originaire du lieu, c'est tout l'univers des premiers mo-
 ments de la création des éléments du paysage et des êtres
 vivants inscrit sur les parois qui se met à vibrer. On com-
 prend là un peu du rapport de continuité que les Abo-
 rigènes établissent avec ce que nous appelons le passé.
 Le dernier Livre est consacré aux habitants de la
 Terre d'Arnhem, au nord-est du pays. Comme la pénin-
 sule Dampier, autour de Broome, cette région maritime
 fut le théâtre de contacts réguliers, voire le lieu d'in-
 stallation, de pêcheurs de bêches-de-mer venant de Ma-
 cassar dont l'impact se fait sentir dans les récits my-
 thiques peuplés de personnages dont on peut associer
 le nom à cette région du sud de l'archipel des Célebes.
 B. Glowczewski se demande même si les échanges avec
 Macassar n'auraient pas contribué à créer des circuits
 commerciaux entre groupes aborigènes. Mais des liens
 plus anciens seraient attestés, comme le laisse supposer
 la présence de la figure du dingo, ce chien arrivé en
 Australie il y a entre 4 000 et 6 000 ans, dans des mythes
 yolngu traitant des relations avec Macassar (336).
 Ce voyage en terre aborigène se fait au cours de
 conversations entre l'ethnologue et ses amis aborigènes,
 au fil desquelles des paroles émergent, que l'ethnologue
 assemble ensuite en une vision du monde propre à ce
 vaste continent, mais dont elle fait volontiers de ses fon-
 dements - à la faveur d'une extrapolation parfois osée
 - une architecture commune à bien des phénomènes de
 divers ordres (cognitif, cosmique, génétique). Aux yeux
 du lecteur que ce beau livre rend exigeant, les connais-
 sances et la rigueur de son auteur se trouvent alors
 parfois malmenées par cet emportement généralisateur.
 Peut-être est-ce le coût de la démarche si particulière
 et expressive de B. Glowczewski, qui cherche à coller
 au plus près des voies de la cosmologie aborigène.
 On en retient finalement que, pour elle, les Aborigènes
 détiennent une riche clef pour penser (et vivre) le
 monde. Pascale Bonnemère
 Goodenough, Ward H.: Under Heaven's Brow. Pre-
 Christian Religious Tradition in Chuuk. Philadelphia:
 American Philosophical Society, 2002. 421pp. ISBN
 0-87169-246-5. Price: $30.00
 Wozu sind Religionen da? Damit sie die vorhandenen
 Bedürfnisse nach spirituellem und sozialem Wohlerge-
 hen befriedigen und die Menschen daraufhin harmo-
 nisch, gesund und in Frieden zusammenleben können.
 So könnte man - natürlich zugespitzt - die funktionalis-
 tische Theorie der Religion von Ward H. Goodenough
 auf den Punkt bringen. Doch welche Bedürfnisse haben
 Menschen und warum? Wie kann man diese ermit-
 teln? Welche Bedürfnisse haben speziell die Menschen
 auf Chuuk? Welche Bedürfnisse hatten sie in der vor-
 christlichen Zeit, die vielleicht 100 Jahre zurückliegt?
 Inwiefern kann gerade deren, auf der mikronesischen
 Insel entwickelte Religionsform die Bedürfnisse so gut
 befriedigen? Wieso braucht dies überhaupt Religion? All
 diese Fragen drängen sich förmlich auf, je weiter man
 sich in Ward H. Goodenoughs Thesen vertieft.
 Zunächst verfolgt Goodenough mit seinem umfang-
 reichen Werk zwei Ziele. Zum einen will er das ge-
 sammelte Wissen, das über indigene Glaubensvorstel-
 lungen auf Chuuk existiert, zusammenstellen, wofür er
 eine Vielzahl von Quellen auch deutschsprachiger Auto-
 ren heranzieht. Zweitens will er seine funktionalistische
 Theorie der Religion präsentieren und untermauern. Die
 obigen kritischen Einlassungen sollen keineswegs die
 Qualität und wissenschaftliche Integrität Ward Good-
 enoughs schmälern. Nach dem 2. Weltkrieg erstmals
 im Rahmen von CIMA, der "Coordinated Investigation
 into Micronesian Anthropology", nach Chuuk gekom-
 men, hat der Autor in der Folge weitere Feldaufenthalte
 dort verbracht und bedeutende Werke u. a. zur Sozial-
 anthropologie Chuuks verfasst. Auch seine linguistische
 Kompetenz ist hervorzuheben, die es ihm ermöglicht,
 umfassend mit einheimischen Begriffen zu argumen-
 tieren sowie Übersetzungen vorzulegen bzw. zu über-
 prüfen. Das vorliegende Buch ist höchstwahrscheinlich
 sein Alterswerk, mit dem er alles Wissenswerte speziell
 zum Thema Religion auf Chuuk zusammenfasst. Es ist
 beeindruckend in seiner Vielfalt, Quantität, Qualität, De-
 tailgenauigkeit, erschöpfenden Quellennutzung, Präsen-
 tation und wissenschaftlichen Bearbeitung. Sein Anlie-
 gen, auch für die Menschen von Chuuk eine sprudelnde
 Quelle des Wissens über ihre eigene religiöse Tradition
 zu hinterlassen, ist in jedem Kapitel spürbar.
 Dabei hat Goodenough einen historischen Ansatz,
 in dem er besonderes Augenmerk darauf legt, anhand
 alter, oftmals deutscher Quellen, ein Bild der vorchristli-
 chen Religion nachzuzeichnen. Sein Buch hat also einen
 rekonstruierenden Anspruch, was durchaus löblich ist,
 da er alle ethnographischen Daten zusammengetragen
 und zu einem übersichtlichen Ganzen formiert hat. Am
 Anfang stehen die grundsätzlichen Basisinformationen
 Anthropos 101.2006
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	Contents
	p. 274
	p. 275
	Issue Table of Contents
	Anthropos, Vol. 101, No. 1 (2006) pp. 1-375
	Front Matter
	100 Years of "Anthropos" [pp. 3-7]
	Inherited Rules and New Procedures in Three Trials in Canton Bo, Southwestern Côte d'Ivoire [pp. 9-19]
	Diviners, Malams, God, and the Contest for Paramount Chiefship in Mamprugu (Northern Ghana) [pp. 21-35]
	Islamisation and Ethnic Conversion in Nigeria [pp. 37-53]
	The Establishment of the Princes' Society in Oku, Cameroon. An Enhancement of Traditional Culture or Its Adulteration? [pp. 55-80]
	Cyclicité, histoire et destin dans les systèmes de classes d'âge de l'Afrique de l'Est [pp. 81-98]
	Israels Religionsgeschichte aus ethnologischer Sicht [pp. 99-109]
	The Dynamics of Identity Reconstruction among Arab Communities in the United States [pp. 111-121]
	" To Inculcate Respect for the Chinese." Berthold Laufer, Franz Boas, and the Chinese Exhibits at the American Museum of Natural History, 1899-1912 [pp. 123-144]
	Ideología, simbolismo y relaciones de género en la construcción de la persona chacobo [pp. 145-158]
	The Urban Manchinery Youth and Social Capital in Western Amazonian Contemporary Rituals [pp. 159-167]
	A Religiosidade popular na cultura caiçara. A Festa do Divino Espírito Santo em Iguape [pp. 169-178]
	Inca Copacabana. A Reconstruction from the Perspective of the Carved Rocks [pp. 179-201]
	Issues in the Classification of Kinship Terminologies. Toward a New Typology [pp. 203-219]
	Berichte und Kommentare
	Männlichkeit und Weiblichkeit. Wahrgenommene soziale Akzeptanz bei jungen Kalmyken [pp. 221-229]
	Syncretism in Religion [pp. 229-233]
	Economic Systems of Foraging, Agricultural, and Industrial Societies [pp. 233-238]
	Drei neue Maya-Hieroglyphen Kataloge [pp. 238-246]
	Rezensionen
	Review: untitled [pp. 247-247]
	Review: untitled [pp.248-249]
	Review: untitled [pp. 249-250]
	Review: untitled [pp. 250-252]
	Review: untitled [pp. 252-253]
	Review: untitled [pp. 253-254]
	Review: untitled [pp. 254-256]
	Review: untitled [pp. 256-257]
	Review: untitled [pp. 257-258]
	Review: untitled [pp. 258-259]
	Review: untitled [pp. 259-261]
	Review: untitled [pp. 261-263]
	Review: untitled [pp. 263-264]
	Review: untitled [pp. 264-266]
	Review: untitled [pp. 267-268]
	Review: untitled [pp. 268-269]
	Review: untitled [pp. 269-270]
	Review: untitled [pp. 270-271]
	Review: untitled [pp. 271-272]
	Review: untitled [pp. 272-273]
	Review: untitled [pp. 273-274]
	Review: untitled [pp. 274-275]
	Review: untitled [pp. 275-277]
	Review: untitled [pp. 277-278]
	Review: untitled [pp. 278-279]
	Review: untitled [pp. 279-281]
	Review: untitled [pp. 281-282]
	Review: untitled [pp. 282-284]
	Review: untitled [pp. 284-285]
	Review: untitled [pp. 285-286]
	Review: untitled [pp. 286-288]
	Review: untitled [pp. 288-289]
	Review: untitled [pp. 289-290]
	Review: untitled [pp. 290-292]
	Review: untitled [pp. 292-293]
	Review: untitled [pp. 293-294]
	Review: untitled [pp. 294-297]
	Review: untitled [pp. 297-299]
	Review: untitled [pp. 299-300]
	Review: untitled [pp. 300-301]
	Review: untitled [pp. 301-302]
	Review: untitled [pp. 302-304]
	Review: untitled [pp. 304-306]
	Review: untitled [pp. 306-308]
	Review: untitled [pp. 308-310]
	Review: untitled [pp. 310-311]
	Review: untitled [pp. 311-312]
	Review: untitled [pp. 312-313]
	Review: untitled [pp. 313-315]
	Review: untitled [pp. 315-316]
	Review: untitled [pp. 316-318]
	Review: untitled [pp. 318-319]
	Review: untitled [pp. 319-321]
	Review: untitled [pp. 321-322]
	Review: untitled [pp. 322-323]
	Review: untitled [pp. 323-325]
	Review: untitled [pp. 325-326]
	Review: untitled [pp. 326-327]
	Review: untitled [pp. 327-329]
	Review: untitled [pp. 329-329]
	Review: untitled [pp. 329-330]
	Review: untitled [pp. 330-331]
	Review: untitled [pp. 331-332]
	Review: untitled [pp. 332-334]
	Miszelle [pp. 334-334]
	Neue Publikationen [pp. 335-349]
	Zeitschriftenschau [pp. 351-370]
	Back Matter

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